Depuis quelque temps, le secteur de l'éducation peine à demeurer à la hauteur des attentes des universaliens. Celui-ci connaît une baisse d'activité inévitable, se répercutant indirectement sur les étudiants de l'université universelle.
À l'origine, des examens saisonniers sont organisés, en plus des devoirs, pour permettre un accès "facilités" aux années universaliennes. La composante de la validation des années s'articulait donc autour des examens et des devoirs.
Toutefois, la baisse d'effectif général de l'UU (corps enseignant et étudiant) emporte plusieurs problèmes factuels.
Parmi eux, l'arrêt des examens, qui a pour externalité négative, la validation des années pour les étudiants grandement ralentie. Il n'en reste alors que les devoirs, comme "garde-fou", d'une immobilisation totale de la validation des années.
Mais résultant de la même façon d'une baisse d'activité générale, s'accompagnant d'un corps enseignant aux effectifs réduits. La fréquence de débit des devoirs s'amenuise. L'UU ne conservant plus que ses secteurs employés comme argument "phare", au détriment des possibilités d'une vie estudiantine, pouvant être menée au sein de ses mûrs.
De ce fait, la proposition de réforme serait alors la suivante ; Ne serait-il pas enviable, d'incorporer concurremment à la présence des examens, la
création d'épreuves annexes , emportant un caractère substituant.
I - Concept À l'initiative des étudiants, ces derniers pourront demander à passer des épreuves "orales", qui seront administrées par l'équipe éducative.
Les étudiants pourront alors choisir deux à trois spécialités (matières) qui seront présentement dispensées (Présence, professeurs en activité).
Les questions porteront alors sur les spécialités choisies par les étudiants.
La fixation d'une date d'épreuve (Pour un à plusieurs étudiants) entrainera la convocation des professeurs désignés par le choix des spécialités. L'organisation d'oraux sera limitée mensuellement.
Ainsi, la réalisation d'oraux substituera aux examens. Pour valider une année, et permettre le passage à la suivante, une à plusieurs épreuves orales, avec une certaine moyenne, pourront être exigées.
II - Fonctionnement global Le jury sera donc composé de deux à trois professeurs qui interrogeront l'étudiant pour leur matière respective. Une série de questions ouvertes, de réflexion, comme fermées, de connaissances pures et simples, pourront être soumises.
L'une des obligations sera que toutes les questions posées et leur portée, auront dû préalablement être abordées lors de cours.
Pour ces deux types de questions, un chrono sera imposé à chaque fois. À l'issue de l'épreuve orale, les points seront comptabilisés, dégageant une note.
III - Intérêts Premièrement, ce dispositif viendra renforcer le secteur de l'éducation en palliant la baisse d'activité. Ce dernier pourra continuer de proposer des épreuves, concurremment aux devoirs en nombre restreint.
En raison d'abord d'une plus grande simplicité d'organisation, à l'honneur pour ce dispositif.
Enfin, ces épreuves orales, au vu des modalités, ne viendront en rien supplanter la présence d'examens, qui conserveront leur prédominance. Dans l'idée d'un retour en surface des examens.