Concrétisée par la réforme du 30 décembre 2016, la procédure de destitution des représentants n'a jamais été codifiée. C'est pourquoi il serait bon d'y consacrer un ou deux articles :

Article n°X - Un représentant ayant reçu deux avertissements au cours de son mandat fait l'objet d'une procédure de destitution.

Article n°X -  L'issue de la procédure de destitution dépend d'un minimum de trente votes de la communauté qui doit affirmer ou infirmer le statut du représentant concerné. La destitution est déclenchée si le résultat du vote est égal ou supérieur à 60% de « Non ».

Je suis pour le premier article et contre le second.

Je préfère laisser aux mains du ministre de la justice et/ou du conseil le soin de destituer la personne. J'aimerais que les décisionnaires puissent également prendre en compte le casier judiciaire.

La décision serait donc moins biaisée par l'effet de publicité et autres subterfuges de la part de la personne concernée
Exemple : On pourrait imaginer que la personne concernée demande à une majorité d'étudiants de voter contre sa destitution et qu'il demande à ses amis de s'inscrire et d'utiliser un double compte déclaré ou non.

De plus, un minimum de 30 votes ça me parait trop élevé pour un minimum.

Je n'ai fait que répéter les modalités posées par la réforme du 30 décembre 2016. En outre, il est normal que la communauté puisse intervenir dans la procédure de destitution en ce qu'elle est responsable, en partie, de l’élection et que le rôle même du représentant constitue la représentation de la communauté.

Cela concerne les avertissements représentant ou avertissements employés tel que professeur, guide, marchand, animateur.. ?

Seulement les avertissements donnés par le responsable du Ministère ou le ministre de la Justice en réunion des représentants